Je vous propose de remettre votre aura en place et d'ouvrir vos chakras.
Une aura centrée et des chakras ouverts sont des éléments clés de votre harmonie et bien-être.
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Quelques explications :
L’aura ne peut être comprise sans une explication sur la nature de l’esprit car l’aura est en relation avec l’esprit
L'ESPRIT
L’esprit est la conscience pure, intemporelle. Rien ne l’arrête, Il traverse la matière, Il ne peut être assombri. Il est là depuis la nuit des temps et rien ne peut l’obscurcir.
Cet esprit est associé à la matière ; cette association prend alors de multiples formes aux structures et aux natures très différentes.
Ce qui peut contribuer à l'existence de nombreux systèmes de vie : système de vie abyssale, de vie troglodyte en absence totale de lumière, système végétal, système animal, etc.
Bien qu’il y ait une organisation chimique très différente, il y a une forme ressemblante.
Donc cet esprit est toujours présent.
L'esprit n'est pas indépendant de notre état physique ou psychologique ni de notre vécu.
Nous nous rendons compte de son existence si, et seulement si, nous nous mettons en accord avec lui. Dès que nous nous en écartons, nous nous éloignons du bonheur qu’il nous procure.
Chaque homme, par sa bonté, sa compréhension, a une chance de saisir une opportunité de choisir la reconnaissance de cet esprit. Il pourra alors le faire partager par ses actes.
C’est pourquoi nous avons une conscience, et dès qu’elle sera ternie par des comportements ou des paroles néfastes, il y aura un dérèglement vibrationnel qui entrera dans la matière. Dans les situations extrêmes, il peut provoquer un phénomène de stress et de dépression, qui va avoir un impact très important sur le système biologique de la personne.
L’aura de tout être vivant est constituée d’une enveloppe vibratoire, entourant le corps physique…
Ce corps vibrationnel est le siège spirituel, mental, émotionnel et éthérique de l’homme. Il est constitué de plusieurs couches vibratoires, de longueurs d’ondes différentes, partant de la plus dense vers la moins dense.
Le corps physique est entouré du corps éthérique (en vert ), lui même entouré par le corps émotionnel ou « astral » (en jaune vert), lui même entouré du corps mental, siège du corps causal, appelé « corps spirituel » (beige)
Ce sont les trois corps vibratoires qu’un sourcier est capable de détecter.
(beige) Le corps causal est formé de la vibration la plus élevée en fréquence. C’est le lien entre la pensée et l’esprit, par la sagesse, l’amour, l’altruisme de la personne.
(jaune vert) Le corps astral, le siège de nos sensations, de l’émotion, sert à capter les vérités universelles provenant du causal, il permet par delà les mots de comprendre le sens profond des actes…
Les deux corps sont émis par la personne. Il existe des explications beaucoup plus complètes dans le bouddhisme, la médecine ayurvédique, ainsi que dans la médecine chinoise.
Je développerai ici plus précisément le corps éthérique (vert) car c’est lui qui fournit l’énergie vitale à la matière. Puis, j’aborderai les chakras, véritables portes d’entrée à l’énergie vitale.
Le corps éthérique correspond en forme et en volume au corps physique ; c’est de lui qu’émane l’énergie régulatrice de la duplication cellulaire. Il est également appelé « corps de santé », car il transmet l’énergie des autres corps subtils au corps physique. En théorie, si l’aura n’est pas perturbée par des pensées et émotions négatives ou un mode de vie en désaccord avec les besoins vitaux du corps (surmenage, carences alimentaires, abus d’alcool, cigarette, drogues, etc.), le corps physique ne peut tomber malade.
En revanche, ces mauvais comportements, les rayonnements géo pathogènes et électromagnétiques vont affaiblir ce corps éthérique et provoquer, à terme plus ou moins long, l’apparition d’une maladie.
Les maladies se dessinent d’abord dans l’aura éthérique, avant d’être transmises au corps physique.
Il s’agit d’un processus de photographie à haute fréquence, découvert en 1939, puis développé par le couple de chercheurs russes, Semyon et Walentina Kirlian.
Cette photographie a rendu visible pour la première fois le rayonnement énergétique typique à chaque être vivant.
Grâce à cette découverte, il est aujourd’hui possible d’établir des diagnostics précis après avoir repéré certaines maladies, dès leur état latent.
Pour plus de renseignements : http://www.francaise-bio-energetique.com/le-bio-magnetisme.htm
Le corps astral, par le chakra du plexus solaire, capte les énergies solaires, et par le chakras-racine, celles de la Terre. Il stock ces énergies dans le corps physique pour les répandre à travers chakras et nâdis (canaux énergétiques dans lesquels circule le "prana" ou l’énergie vitale pure), sous la forme de courants vitaux permanents. De ces deux énergies dépend l’équilibre des cellules du corps.
Une multitude de textes et illustrations tibétains certifie de l’existence de ces sept chakras principaux, de multiples chakras secondaires et d’un immense tissu de fins canaux énergétiques : jusqu’à 350.000 nâdis, porteurs d’énergie cosmique.
D’origine sanskrite, le mot « chakra » signifie « roue » ou lotus. Le « prana », selon des sources indiennes anciennes, entre en tournant par le premier chakra, situé au niveau du coccyx, puis remonte le long de la colonne vertébrale et s’échappe par le sommet du crâne, via le chakra coronal. Une autre énergie descend par ce dernier dans le sens inverse, vers le chakra coccygien.
Je n’ai volontairement pas développé les aspects spirituels et psychiques du rôle des chakras, afin de ne pas surcharger davantage les notions de base de mon analyse ; néanmoins, chakras et nâdis transforment et stockent l’énergie pour activer des réactions biochimiques(centre ou glande endocrinien).
Comme nous l’avons vu, le corps physique est entouré de l’aura, partie vibrationnelle de l’être humain. Ce corps est le siège spirituel, mental, émotionnel et éthérique de l’Homme.
Le corps éthérique fournit de l’énergie et entoure le corps physique, sur toute une épaisseur pouvant varier d’environ trente centimètres, pour les individus en bonne santé, jusqu’à un mètre chez ceux jouissant d’une excellente santé.
La vibration éthérique pénètre par les chakras situés au niveau de la colonne vertébrale.
A chaque fois que j’effectue une analyse radiesthésique dans une maison sous laquelle se trouve un croisement d’eau et où des personnes dorment ou demeurent longtemps (lieu de travail, par exemple) à proximité d’une nappe d’eau souterraine, je réalise une étude énergétique avec mes baguettes en forme de « L » qui permettent de mesurer l'épaisseur des corps vibratoires et avec le lobe de Hartmann qui permet d'évaluer l'ouverture ou la fermeture des chakras.
A proximité d’une nappe d’eau souterraine on observe très fréquemment une diminution de l'épaisseur du corps vibratoire éthérique jusqu’à un certain point (dix centimètres, voire moins).
Ce corps est aussi déplacé par rapport au physique s’éloignant du point Z, laissant le corps physique à l’extérieur du corps éthérique, dans deux cas les plus extrêmes.
Une partie des chakras est fermée, voire la plupart ; celui du plexus solaire, qui est la porte d’entrée de l’énergie, est quant à lui, toujours clos.
J’en conclus que les courants d’eau affectent notre aura et tout se passe comme si celle-ci, pour s’en protéger, se décalait afin de les éviter. Les centres d’énergie se ferment et la personne vit sur ses réserves, qui s’amenuisent, si l’aura n’a pas la possibilité de se recharger dans les zones d’émission de radiations positives à notre métabolisme.
Constatation : l’onde à proximité des cours d’eau.
Par souci de clarté, je vais me baser sur les résultats faisant l’objet d’un consensus de la part des sourciers et des géobiologues, écartant délibérément ceux pouvant être sujets aux polémiques.
Il y a toujours un resserrement du quadrillage magnétique terrestre (Hartmann, Curry, Wissmann), à proximité des cours d’eau, comme s’il y avait un creux et une concentration avec une réunion de tous les quadrillages au point Z, centre des deux cours d’eau.
Ce qui est sûr, c’est qu’il y a un rayonnement magnétique terrestre beaucoup plus important à cet endroit-là, comparé à un endroit « neutre », sans eau souterraine. Ceci est vérifié par des appareils de mesure comme le spectran.