Etant radiesthésiste, je me suis toujours confronté à une opposition scientifique de la part de beaucoup de personnes et aussi des médias en général qui nous reprochent un sens non fondé des réalités.
C’est pour cela que je vais essayer, sans contestation possible, de donner des éléments sérieux sur l’existence des ondes qui se situent à la verticale d’un croisement de deux courants d’eau souterrains mais aussi évoquer leurs natures et les influences néfastes qu’elles engendrent.
Pour cela, je ferai un rappel d’un principe fondamental d’une expérience scientifique :
Tout commence par une observation dans un champ d’expérience. Lorsqu’un seul facteur change dans ce champ et produit un résultat différent, je dirai alors qu’il y a une très forte probabilité que ce facteur soit la cause de cet effet.
Expérience
Elle consiste à utiliser deux frondes (feuille + tige) de fougère ayant des sporanges regroupés en sores sur la face intérieure se présentant à la terre.
Ces deux feuilles auront exactement le même nombre de folioles et seront cueillies au même moment. Elles seront mises chacune, dans un même récipient, ici deux verres, contenant de l’eau de même origine et en quantité égale ; de sorte que nous ayons deux mêmes ensembles constitués d’éléments simples.
Nous placerons alors l’un des ensembles nommé An à un endroit noté N, ayant même luminosité (éviter tout rayonnent solaire direct) et même température mais aussi loin de tout rayonnement de téléphone portable (5m), ligne électrique (60 cm), écrans de toutes sortes, proximité de ligne à haute tension, antenne gsm, miroir, courant d’air.
Nous placerons le deuxième ensemble nommé Bz à un endroit noté Z, dans les mêmes conditions, de sorte que rien de visible ne distingue les deux ensembles si ce n’est l’endroit.
L’endroit N sera choisi par un ou plusieurs sourciers comme étant en zone neutre, c’est-à-dire hors de tout courant d’eau souterrain.
L’endroit Z sera, lui aussi choisi par un sourcier, comme étant en zone nocive, c’est à dire à l’aplomb d’un croisement d’eau que nous connaissons être la réunion de différents quadrillages magnétiques de la terre, réseau Curry, Wissman, Hartmann (voire explication chapitre radiesthésie).
Observations
La fougère An reste toujours bien verte et droite, c’est-à-dire qu’elle garde son port naturel.
La fougère Bz change de couleur, et commence à roussir et son port change : la tige se tourne vers le sol en se courbant, ses rameaux secondaires se recroquevillent et s’enroulent.
Maintenant la fougère Bz est complètement recroquevillée, les rameaux secondaires sont totalement enroulés sur eux-mêmes et la tige principale est extrêmement courbée et touche le sol. La couleur est devenue marron.
La fougère Bz est complètement ratatinée et recroquevillée, elle a un aspect sec.
Les premières conclusions de cette expérience sont :
D’une part un endroit n’est pas neutre, c’est à dire qu’il agit sur une fronde de fougère
D’autre part, cette réaction pourrait provenir d’un rayonnement ou d’une onde non visible à la verticale d’un croisement de deux courants d’eau.
NOTE : ne pas faire cette expérience en automne car les fougères sont prêtes à se faner, ce qui fausserait cette expérience.
Ces résultats connus de la plupart des radiesthésistes ont été publiés dans plusieurs livres et sont même admis par certains scientifiques.
Cette expérience, dès le début, m’a rendu certain de l’influence d’une onde sur une feuille presque vivante.
Suite à mon entêtement et ma curiosité, j’ai décidé de refaire cette expérience.
Cette fois-ci, par inadvertance, j’ai pris une fronde de fougère sans sore que je plaçais sur le point Z et cette expérience avec des fougères sans spores n’a pas donné les mêmes résultats .C’est à dire, qu’il n’y pas de dessèchement de la fronde ni de recroquevillement de celle-ci ; et ce résultat m’a perturbé, je ne comprenais pas pourquoi.
J’en conclus que la réaction aux ondes dépendait essentiellement de semences situées sous les frondes.
Deuxième expérience
Cette fois-ci, j’ai fait plusieurs fois l’expérience dans les mêmes conditions que la première expérience avec des frondes munies de sores donnant les mêmes résultats : les fougères mises à aplomb d’un croisement d’eau souterrain - point Z - libèrent leurs sporanges beaucoup plus vite que celles situées sur une zone neutre.
En voici l’explication.
En fait, la fronde avec ses sores contient un potentiel vivant alors que la fronde sans sore ne l’a pas. Les sores (voir illustration ci-dessous) sont des sacs à sporanges, sorte de semences qui ne sont pas encore formées. L’arrêt de circulation de liquide dans cette plante à vaisseaux va faner celle-ci et va déclencher la méiose de la fougère (mitose sexuée). C’est à dire la possibilité de s’autoféconder pour créer une nouvelle petite fougère à cet emplacement ou la possibilité de protéger le capital génétique comme pour les spores bactériens.
CONCLUSION
La libération des spores est rapide sur un croisement d’eau, alors que les spores restent accrochées aux frondes sous un endroit neutre (sans cours d’eau souterrain).
Après ces premières constatations, j’avais la conviction que l’influence des ondes sur les cours d’eau souterrain sur le vivant existait, c’était même une réaction biologique.
FIN DES FAITS
Suite à ces constatations, j’ai effectué de rapides recherches pour expliquer ce phénomène et j’ai trouvé plusieurs concordances avec les cellules humaines ou animales qui me semblent être capitales pour la recherche scientifique.
J’eus l’intuition que cette réaction biologique avait aussi un rôle sur les cellules constituant les mammifères, plus précisément sur la mitose, duplication cellulaire à partir d’une seule cellule.